Le directeur du Real Madrid, Carlo Ancelotti, a affaire à une crise majeure des blessures dans sa défense, avec Antonio Rudiger, David Alaba, Eder Militao et Dani Carvajal contre l’action contre MANCHESTER CITY Lors de la première étape de leur play-off en Ligue des champions. Malgré cela, Ancelotti n’utilisera pas son seul défenseur central principal en forme.
Ce serait Jésus Vallejo, qui n’a joué que 10 minutes toute la saison, et n’a pas présenté depuis septembre, date à laquelle il est apparu en tant que substitut contre Alaves. Dans la construction de l’affrontement de la ville de l’Etihad, Ancelotti a été invité à ce qui se passait avec Vallejo.
«Absolument rien ne se passe avec Vallejo, le problème est que son contrat se termine et nous préférons donner des minutes aux jeunes joueurs.»
City a dépensé plus de 200 millions d’euros en renforts dans la fenêtre de transfert de janvier pour adoucir l’impact de leur propre crise de blessure, et Ancelotti a été invité à son avis entre les deux approches différentes.
«Tout le monde a son opinion et le droit de faire ce qu’il veut faire. Rien à ajouter à cet égard. »
Ancelotti était plein d’éloges pour son numéro opposé, Pep Guardiola, lorsqu’on lui a demandé de quelle qualité de son souhaitait et de quelle qualité de son Guardiola pourrait bénéficier.
«Ce que je peux dire, c’est qu’il me semble être un entraîneur qui a beaucoup contribué au football: possession, attaquant le jeu, pression et jouant de l’arrière. Il est un innovateur de football et j’ai beaucoup de respect pour lui. Il est l’un des meilleurs, sinon le meilleur. Chaque fois que nous nous sommes affrontés, c’est un cauchemar de préparer les matchs, car il a toujours des idées qui vous font réfléchir. »
«C’est toujours un mal de tête. Mais la réalité est que: lorsque City nous a éliminés, ils étaient champions; et vice versa. Je suis convaincu que quiconque passe ira loin dans la compétition. La surprise est que le match sera en séries éliminatoires… et si nous sommes ici, ce n’est pas la faute d’UEFA, mais la nôtre. Mais c’est surprenant, car ce match pourrait être un dernier, demi-finale ou quart de finale. Mais, je le répète: ce n’est que notre faute.